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Autodicates, vous n’ĂȘtes pas seuls 2/2

    cet article est en deux parties : Lire d'abord la partie 1

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    Autodidactes vous n’ĂȘtes pas solitaires

    On a beau dire qu’ĂȘtre autodidacte, c’est vouloir se former seul de son cĂŽtĂ©, mais finalement nous ne sommes jamais vraiment solitaires (en dehors des autres autodidactes dont nous nous entourons au fur et Ă  mesure des annĂ©es).

    Nous avons toujours eu, aux cĂŽtĂ©s de notre motivation : des livres, des films, des inspirations, des histoires, des magasines, des bribes de cours gravĂ©s en nous, ou encore des personnes qui nous ont insufflĂ© notre connaissance d’aujourd’hui sans mĂȘme le savoir elles-mĂȘmes (ni vous..).

    Certes notre dĂ©marche Ă©tait solitaire (sans doute mĂȘme ultra-personnelle), mais les connaissances des personnes ainsi rassemblĂ©es (indirectement je vous l’accorde) font partie du savoir commun, universel.

    


    « Vous perdez du temps », disent certains, « pourquoi rejeter les maĂźtres alors qu’ils vous offrent le raccourci vers ces connaissances tant dĂ©sirĂ©es ? »

    Parce que. Parce que nous n’aimons pas les choses « simplifiĂ©es, raccourcies ». Nous avons soif de prendre Ă  200% toute l’expĂ©rience du parcours d’apprentissage et d’assimilation ! A nous de dĂ©cider, ce qu’on va finalement garder ou laisser de cĂŽtĂ©. Une libertĂ© intelligente en quelque sorte.

    Nous avons faim de ces obstacles que nous allons franchir, ne serait-ce que pour apprendre Ă  faire de bonnes lasagnes, juste par la force de notre cerveau et de nos ratĂ©s. Nous avons besoin d’avoir l’impression de gravir des montagnes, de conquĂ©rir les mers ou de s’envoler vers la lune.

    Etre autodidacte est bien plus qu’un mot, c’est une maniĂšre de voir la vie comme une corne d’abondance. Une aventure de tous les jours, quelque soit le nouveau challenge qu’on se propose de dĂ©fier.

    


    Le vĂ©ritable besoin quand on dĂ©cide de se former de façon autonome c’est de travailler seul(e) bien sĂ»r, mais surtout de trouver les supports qui nous nourriront l’impulsion qu’on titille au fond de nous.

    Cela peut ĂȘtre des livres, des images, des rencontres, des discussions, des films, des manuels sĂ©rieux, ou plus superficiel
 Bref, ce qui va pouvoir nous communiquer la « fibre », celle qui nous fera vibrer et que nous aurons envie de suivre.

    On peut donc mĂ©langer tout ce qui fait notre environnement et les diffĂ©rentes « vĂ©ritĂ©s » qu’on va aller fouiner, les passer au filtre de nos objectifs, pour finalement construire notre propre savoir-faire.

    N’oublions pas une derniĂšre chose : si vous ĂȘtes animĂ©s par le mĂȘme besoin de vous former seuls, ne tombez pas dans le piĂšge de la mono-source, ou de l’absence complĂšte de sources. Certes, il est bien plus agrĂ©able de tout faire seul, pas de comptes Ă  rendre Ă  personne
 Mais la vĂ©ritable progression passe aussi par certaines Ă©tapes oĂč des personnes qui vont vous inspirer, vous permettront d’ĂȘtre plus efficaces dans vos choix.

    Voir et expĂ©rimenter plusieurs maniĂšres de s’organiser, tirĂ©es de ceux qui y sont passĂ©s avant vous, rendra vos dĂ©marches d’apprentissage bien meilleures : sans pour autant devenir dĂ©pendants d’une seule maniĂšre de faire et, aprĂšs tout, c’est l’essentiel dans ce genre de processus !

    Soyons fous et zen
 Gardons le Flow !

    --- fin de la partie 2 ---

    -> Lire la partie 1 : c'est ici

     @ bientît sur Grafibulle 🙂

     

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